"But you'll always be my hero, even though you've lost your mind"

Il est un temps pour tout, quand est passé le temps de la remise en question, il est le temps des blessures à vif, le temps d'ouvrir les yeux sur ce qui se passe réellement, puis arrive le temps de la guérison et plus tard, de la reconstruction.
Je sais que vous me lisez et j'aimerai vous dire que oui, je regrette amèrement (pour deux-trois personnes que j'ai la décence de ne pas citer mais la délectable indescence de viser ) de vous avoir confier certaines clefs, dont celle qui vous permet de lire ce blog.

Il ne sert à rien de vous donner des valeurs que vous ne possédez aucunement; ni de reprochez aux autres vos propres echecs. J'imagine que vous avez ris ou simplement esquissé un sourire en me voyant parfois clamer ma colère sur les uns ou les autres.

Certes je prends certaines fois un malin plaisir à dire leurs quatre vérités à certains personnages qui ont traversé ma route et je suis entièrement d'accord, sans prendre de gants.
Cependant, la différence entre vous mes chers anonymes et moi c'est que j'attends de posseder tous les éléments avant de descendre en flammes ces personnes.

Rapide topo pour mes dears rabbits qui ne pigent absolument pas ce qui est en train de se passer :
TOUT se sait TOUJOURS. Quand les masques tombent et que les gens vomissent enfin les immondices qui se tapissaient dans leurs foutues entrailles il arrive que cela pique et puis pour vous qui me connaissez bien en théorie vous savez que je dis absolument TOUT ici.

(Déjà j'entends vos pensées : "ouais mais t'as pas le courage de le faire en face" . BANDE DE CONS ! Quand je le fais en face vous ne m'écoutez pas et préférez vous cacher devant un outil nommé Facebook que vous prenez pour la vie réelle.)

So. Je suis ennervée comme vous pouvez le lire. Mais cela ne m'empêche pas d'éprouver. Cette fois, vous pouvez aller vous faire voir avec votre habitude que j'arrondisse les angles, que je tente d'être diplomate ou PIRE : compatissante.
Je n'éprouve plus que de la pitié pour vous (non pas que je n'en ressens que maintenant, elle était déjà bien présente mais je préfèrais me dire que j'étais l'abrutie et que vous méritiez le bénéfice du doute puis une deuxième chance, puis une troisième, une quatrième, une cinquième. HALLO ! Il y a un moment où celà suffit !).
Et si je ne vous ai pas encore volé dans les plumes c'est certainement parce qu'une certaine personne (oooh... un autre anonyme) possède suffisement de sang-froid pour avoir accepté de m'en prêter.

Maintenant, je deviens égoïste. Je ne ferai plus rien pour vous et je vous jure que je ne recommencerai plus. Ma confiance et ma patience ont atteint leurs plus extrèmes limites.

A bon entendeur.

Je vous laisse avec l'art.

“City of Shadows” by Alexey Titarenko